Qui n'a jamais visité un site consacré au cinéma en se disant : "pourquoi ces espèces de frustrés passent leur temps à critiquer des films au lieu de s'adonner à ce qui semble être leur passion ?" Qui ?
Et bien sachez que Tribaal n'est pas seulement un nid de critiques frustrés d'avoir rater leur carrière : c'est également le nom d'une maison de production. Ho, pas une grosse boîte à la EuropaCorp… Non, non, une petite boîte de prod. du Système D, celui qui se fait avec beaucoup d'idées et peu de moyens, avec de la DV et des effets spéciaux maison, avec des copains en guise de comédiens (pas césarisables) et un vieux pied pour la SteadyCam …
Et oui, Diez (c'est moi) et Dr Marlowe (c'est lui) que vous aviez toujours pris pour de paisibles rédacteurs à l'humour certes un peu tendancieux mais pas bien méchants pour un sou, en réalité, ces deux rédacteurs là, quand ils abandonnent leur clavier, tel Clark Kent un soir d'incendie, déchirent leurs costards Armani et se transforment non pas en bidasse volante mais en jeunes réalisateurs aux dents longues. A leur (notre ?) actif, pour l'instant, deux seul film. Un court métrage d'une demi-heure dans le Chicago des années 30 : La dernière danse des Matriochkas. Et en tournage, un vrai long, d'une heure trente (si ce n'est plus), un film de gangsters répondant au doux sobriquet de Le dogme du bon sens. Et on compte pas s'arrêter là, comptez sur nous ! #

Dès qu'un film est terminé, vous pourrez le découvrir en exclusivité - et en intégralité ! - sur le site, en version DivX ou en MPEG... et on vous prépare quelques bonus de derrière les fagots, style bêtisier, bande-annonce, making-of, fins alternatives, interviews…

 

La dernière danse des Matriochkas
Un détective privé sans histoire va voir son paisible quotidien bousculé par l'intrusion d'un mystérieux client... Tribaal Films. vous invite à plonger dans le Chicago des années 30 avec ce court-métrage de 27 minutes, hommage au film noir de la grande époque, avec des femmes vénales, des gangsters patibulaires et des flics désabusés comme si il en pleuvait.
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Golgotha
La plongée dans l'esprit malade d'un écrivain confronté à son double de papier. Un court-métrage (15 min) tourné pour un concours, qui vaut surtout pour l'histoire de son tournage, chaotique et ponctuée d'évènements bien stranges
. Un film verbeux, décrié par ses réalisateurs mais qui mérite le coup-d'oeil, rien que pour la prestation (hilarante) de ce bon vieux cabotin de Diez.
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Le dogme du bon sens
Quand Diez et Marlowe veulent révolutionner le système D, ça donne ce projet dément, encore inachevé, d'une ampleur inédite pour Tribaal Films (1h30, quand même, incluant une BOF réalisée par nos soins), et d'une ambition démesurée (pensez, attirez le spectateur avec un long-métrage tourné en DV, avec des comédiens adolescents jouant des adultes, et un budget ridicule... faut une bonne dose d'inconscience... ou de stupidité). En attendant, le pitch est bien barré, le scénario en béton armé. On attend toujours le premier trailer qui devrait résumer assez bien les ambitions et l'atmosphère du film...
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