Analyse détaillée
de petites perles du cinéma, avec en options moultes anecdotes
de tournage et générique détaillée... Forcément
subjectif et non exhaustif mais incontournable.
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Les
Sept Samouraïs
Gandolf, petit nouveau à Tribaal, et dont le pseudonyme
fleure bon du côté de la Middle-Earth,
s'est lancé sabre au clair à l'assaut de ce
monument du cinéma qu'est Les Sept Samouraïs,
au risque de se faire lyncher par tous les groopies de Kurosawa
qui visitent régulièrement le site. On avait
oublié de le prévenir : la rédac' ne
couvre pas les frais d'hospitalisation consécutive
aux attaques de fans revanchards
Allez, courage, Gandolf,
l'hôpital Ste Mangouste de Grézieux les Fromentales
a des chambres avec vue sur le parking, tu t'ennuieras pas.
Au fait, vous savez qui est le plus petit samouraï
? Le ronin de jardin. Pouaahahahaha !!! Hum. **regard dérobé**
Heu
les gars, c'est Gandolf qu'a écrit la critique,
pas moi !
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L'Etrange
Noël de Mr Jack
Un squelette blafard, vaguement névrosé, chantre
à ses heures perdus, récitant d'interminables
monologues shakespeariens sur ses tourments intérieurs
? Si ce portrait évoquera tout de suite au cinéphile
lambda que vous êtes le héros de L'Etrange
Noël de Mr Jack, le rédacteur de Tribaal,
lui, à la lecture d'une telle description, pensera
tout de suite à Diez, allez savoir pourquoi. Qui
de mieux, du reste, pour critiquer ce qui reste à
ce jour l'uvre la plus personnelle (et la plus aboutie)
de Tim Burton, que notre # préféré,
qui lui voue un amour irraisonné ?
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A
bout de souffle
Staxton.Billing, c'est un gars, il est à
moitié cinéphile, à moitié asthmatique.
Alors franchement, on aurait pas pu choisir meilleur rédacteur
pour chroniquer ce tournant de l'histoire du 7e art, par
le biais duquel Godard et Truffaut ré-inventèrent
le cinéma et inspirèrent toute une génération
de réalisateurs. Si nouvelle vague il y a, voici
son crush cinématographique.
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Le
pianiste
Un pianiste polonais tente de survivre aux rafles nazies.
C'est beau comme un adagio de Chopin, ça vous secoue
la moelle épinière, et ça mérite
amplement sa palme d'or. Entre horreur et sublime, Polanski
nous offre une ballade aux enfers dont on ne ressort pas
indemne.
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Le
Parrain
Voir Le Parrain
et puis mourir.
Les superlatifs sont légion pour qualifier le premier
épisode de la saga mafieuse de Francis Ford Coppola.
A l'occasion de la mort de Marlon Brando - l'inoubliable
Don Corleone -, il serait bon de revoir ce que le cinéma
a fait de meilleur
Et pas seulement dans le genre.
C'est Blazcal, notre québécois préféré,
qui passe au crible cette masterpiece sans égale.
Vas-y doucement, petit
on n'est pas des croque-morts.
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